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La question question classique pour soulager la douleur :
Plutôt du chaud ou plutôt du froid ?
À question standard, réponse standard : on préconise généralement l'application d'une source chaude (p.ex.bouillotte) sur une douleur axiale ou rachidienne (type lumbago ou torticolis) et d'une source froide (cold-
Par contre, il est plutôt déconseillé d'appliquer trop de chaleur sur un état inflammatoire aigu, surtout si ce dernier est associé à de la fièvre.
Ce principe peut-
D'autres encore préconisent l'alternance entre l'application de chaud et de froid (par périodes de 15 à 20minutes). L'idée étant de diminuer l'inflammation par le froid puis de drainer les métabolites de cette même inflammation grace à la vasodilatation obtenue par l'appliction de chaud.
En thermothérapie selon P. Gradelle, par exemple, on cherchera à diminuer l'inflammation par le froid sur la zone douloureuse puis à drainer en créant un courant d'appel par différentiel thermique (bouillotte sur la région du foie). Pour plus d'info concenant cette méthode voir le fichier PDF à ce lien
Il faut évidemment s'empresser de préciser que ceci ne sont que des règles grossières et que dans le domaine du vivant, aucune règle ne peut prendre un caractère absolu. Il existera toujours "l'exception qui confirme la règle". Aussi est-
Faut-
Un des fondements de l'ostéopathie nous rend attentif à la relation entre la structure (p.ex. notre dos) et la fonction (p.ex. une aptitude au mouvement indolore)
La réponse semble donc être "oui" : l'entretien régulier de son corps (structure) par une fonction adaptée est une bonne chose.
Mais dans fonction adaptée, il y a "adaptée" et cet adjectif est au moins aussi important que la fonction (l'exercice physique) elle-
Comme toujours la voie du milieu, "ni trop ni trop peu", semble être la meilleure démarche (lire l'article annexé : Ne succombez pas à la dictature du sport)
Un muscle en activité voit sa vascularisation multipliée par 5 (par rapport à ce même muscle au repos). Sachant cela, il paraît logique que si vous élevez le débit sanguin d'un facteur cinq, la quantité d'endorphines (morphiniques endogènes) circulantes le sera aussi. De fait votre seuil de perception algique sera élevé. On peut donc affirmer que l'activité musculaire va avoir un effet anti-
L'important est de savoir doser. Cela signifie éventuellement réduire voir mettre entre parenthèses son activité quand cela s'avère nécessaire. Tout comme cela peut signifier que l'on peut l'augmenter si l'on souhaite franchir de nouvelles limites. Il faut également en être convaincu. Juste faire des exercices parce que "mon médecin me l'a prescrit" ne sera pas très utile. Il faut se donner un temps d'évaluation (1-
Les exercices de gainage peuvent être utiles pour un entretien voir un renforcement de la musculature abdomino-
Crampes musculaires
Qu'elles soient nocturnes ou qu'elles surviennent pendant la pratique du sport, les crampes musculaires ont des causes variables et il n'y a pas de remède miraculeux, même s'il existe de nombreuses démarches pour les éviter (voir le document annexé : crampes). Parfois il peut même s'agir d'un problème de terrain associé à des conditions psychologiques particulières. On peut alors parler de spasmophilie (voir le document annexé : spasmophilie).
N'y a-
Pas si sûr ! Pour en savoir plus activez le lien vers le dossier spécial arthrose (publication de Santé Nature&Nutrition)