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Sorry, leider nur auf französich ...
L'exercice de tension-
Une étude menée dans un collège français (stimulation du néocortex, donc des facultés analytiques par le biais d'une « explication de texte ») a montré que cet exercice de TDG, exécuté préalablement, permettait d'augmenter de près de 50% les aptitudes d'écoute et de rétention mémorielle chez les adolescents.
Cet exercice de TDG, exécuté préalablement, permettrait-
Si tel était le cas, cela permettrait par extension, de suggérer que l'exercice de TDG, ou toute autre méthode d'abaissement de la vigilance, devrait être systématiquement pratiqué(e) avant l'emploi de toute technique ostéopathique (qui est ou peut être finalement perçue comme une (somme de) stimulation(s) physique(s)) afin d'en améliorer l'efficacité thérapeutique.
« L'expérience des ballons d'hélium » proposée dans cette étude n'est rien d'autre qu'un artifice permettant de quantifier, de manière simple, l'intégration (sensori-
« l'expérience des ballons d'hélium » permet d'évaluer cette intégration sensori-
Cette étude préliminaire, basée sur « l'expérience des ballons d'hélium » (voir plus loin dans le site pour son déroulement décrit dans le détail) a été menée sur deux échantillons de 32, respectivement 34 volontaires. Les premiers servant d'échantillon de contrôle, les seconds d'échantillon témoin dont les individus se différencient de l'échantillon de référence par le seul fait qu'ils ont, préalablement à cette même expérience, effectué un exercice de TDG qui aura légèrement pincé leur vigilance.
Les résultats des mesures prises dans le cadre de cette étude clinique préliminaire montrent,
de manière significative après analyse statistique (lc 95), une amélioration, pour l'échantillon témoin, des performances d'intégration (sensorimotrice) sur la base de paramètres quantitatifs et qualitatifs
mis en place pour évaluer « l'expérience des ballons d'hélium » .
Par extension, les résultats encourageants issus de cette «expérience des ballons d'hélium» semblent indiquer que l'emploi systématisé de techniques d'abaissement de la vigilance en guise de préalable à tout traitement ostéopathique (tant pour le patient que pour le praticien), risque fort d'en voir son efficacité potentialisée puisqu'un tel traitement n'est en définitive issus puis constitué quasiment que d'une (ou d'une somme de) stimulation(s) physique(s). Si la démonstration de cette dernière supposition n'est pas l'objet du présent travail, cette hypothèse en est la conséquence et le lien entre notre recherche (qui est plutôt du domaine de la physiologie) et l'ostéopathie.